Bureau FoLiNko & Assemblee Generale 2007 Imbao - Nkole
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Documents:
Projet EP Filles Lifala /Sternsinger Deutschland
Reportages Photo Projet EP Lifala Yangambo (pdf):
EP Lifala & EP Lyamba : accueil 2004
Chefs coutumiers - coptation Wahlen 2006
Ndika - huile royale (etiquette)
PROVINCE DE L’EQUATEUR
TERRITOIRE DE BOKUNGU
RDC
Ein Königreich in Bildern - Chefferie Nkole 2006
Legende: von links nach rechts, oben nach unten:
Seite 1:
Agronom und Präfekt von ITAV Yangambo mit Soja und Reis - Reisschäler beim Stampfen
Soja: Papas Loius und Damas beim Enthülsen - Sojagold - weisses Gold: Bohnen mit Avocado und Zitrus
Maniokstrasse: Einweichen im Wasser - Tamisieren - Chikwangue in Blätterverpackung
Maniokblätter für den Mpondu - Maman Pauline kommt vom Feld - Bea: kongolesische Makkaroni
Seite 2:
Fleischstrasse: Schlange - Ziege - Raupen
Ölstrasse: Palmnüsse, Handpresse, „Fabrik“, Abfüllung (Kooperative)
Früchte - Banane - Frauenarbeit - Kaffee
Stillen (Zwillinge) - Korb für Ecopage/Fischfang - Schlangenjagd - frisch vom Schmied
Seite 3:
Handwerkerstrasse: Messer der Altvorderen - Reuse für den Fischfang - Korbflechten
Lasten der Frauen: Körbe - Maischenfass aus Rinde - Benzinfass
Raphia bei den Kitawala - Fauteuil mit Lianengeflecht - Fahrradatelier
Verwalten: Büro der Chefferie - königliche Kasse - Schule aus Missionarszeiten
Seite 4:
Spiele der Kinder: Patrizia mit dem Messer - Puppe . Reif - in Pose
Kinderschar - Brillenkönig - Hochzeitfeiern
Strasse der Altvorderen: Grab von Chef Nkombe - Heimholung - Ahnenhäuschen - Krieger Papa
Louis mit Totschläger (vor König „Chef Lifala“)
Riten im Morgengrauen - Konga: Zeichen der Bindung - Lanze: Zeichen des Friedens (gebarrt)
Kahnfahrt: im Einbaum über den Tshuapa
Café (français), kafe(Lingala, Lomongo)
L’origine de café à Bokungu est par l’arrive des blancs. Certains ont fait des plantations 1 à 3 hectares, Certains seulement quelques plantes à coté de la maison. Au fur et mesure le café était récolté et mis à la classification des produits industriels, acheté par les sociétés et les entrepreneurs. Ces derniers ont mis sur place les magasins (boutiques) pour l’approvisionnement en produit de première nécessité comme savons, sel, vêtement etc... Dans cette relation ils créditaient aux planteurs les biens comme vélo, machine à coudre ... ils s’entendaient avec un prix bien défini qui équivalait aux Kg.
Pour l’échantillons de café â Nkole. C’est monsieur Lifala Isemoy Bolemba (actuellement chef de chefferie des Nkole) et ses frères, tous élèves à l’école des missionnaires à Mondombe qui l’ont amené dans la chefferie des Nkole. Chaque congé il rentrait à la famille avec les jeunes plantes. Ils se sont partagés et c’était devenu la plante pour toute l’entité. Certain ont amené dans les plantations des sociétés Belges et des particuliers.
Usage :
Le café était utilisé pour le commerce comme susmentionné. Le même café était revenu comme produit transformé, fini et mis dans les boîtes par les industries et utilisé par la population. Donc, le café était comme un arbre de vie pour la population. Personne ne peut détruire la plante. La transformation locale a eu lieu, certains ont récolté et transformé régionalement pour la consommation : souvent le café fort pour provoquer l’insomnie en cas de veiller (sentinelle, deuil, chasse et pêche nocturnes). Les feuilles sèches de café prises comme thé sont pour augmenter l’hémoglobine (sang) en cas de problème. A la place du sucre, la population utilise le jus de miel, ou prennent ça pur.
Quelques années avant la guerre de 1997, les sociétés sont tombées faillites. Certains hommes d’affaire ont continué de faire l’achat café avec un prix très réduit. Après les guerres de Congo 1997-2000), tout était dans le chao et le café a perdu son sens dans la population. Par conséquent les dépendants des plantations sont en souffrance (planteurs, commercent et la plante). Aujourd’hui certaines plantes et plantations existent avec l’idée qu’un marché peut se déclencher. Les planteurs entretiennent les plantations. Ils font des petits récoltes pour la consommation quotidienne tandisque la grande partie est entrain de pourrir dans les plantations.
Transport : Il est difficile à la population d’entreprendre localement l’initiative car Le milieu est très loin de Kinshasa (1700 km), la capitale du pays où le marché est encore ouvert. Pas d’accès par la route, seulement par la rivière. Un aller-retour peut durer une année. Les bateaux sont en mauvaise état, le transport commun avec la marchandise : chèvres, poules, mais, riz, fufu, essences, mazouts, etc... le temps pluvial est le plus difficile car il y a pas d’hangar pour se protéger. Il y a la perte de produit. Obtention des sacs vides, c’est aussi difficile.
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Mythe : La planté interprète localement l’espoir de vie car toute plante de café coupée pousse or celle de palmier ne pousse pas, ainsi les pasteurs disent la vie d’un chrétien est comme la plante café.